Résultats édifiants et constat d’urgence d’un meilleur accompagnement pharmaceutique après que Newpharma aitinterviewé plus de 5.100 femmes.
Intéressant : Une grande majorité des femmes qui ont déjà pris la pilule du lendemain affirment y avoir eu recours 1 à 3 fois dans leur vie.
Éclairant : Les préservatifs défaillants/mal mis sont responsables de 33% des prises.
Interloquant : 19% des femmes pensent pouvoir prendre ce moyen de contraception pendant leur grossesse et ainsi éviter une seconde fécondation…
Effrayant : 8% des répondants pensent que l’effet contraceptif dure jusqu’aux prochaines menstruations et 6% croient même qu’il s’agit également d’un moyen de se protéger des Maladies Sexuellement Transmissibles (MST).
« L’accident d’une nuit d’été » … si l’expression populaire est comprise de tous, c’est que la période de l’année est particulièrement propice à la libération des esprits et des corps. Une des raisons pour lesquelles il y a statistiquement plus de naissances au printemps qui suit. Mais tous les rapports sexuels n’ont pas forcément pour objectif de concevoir un enfant et le plus grand laxisme ainsi que la fougue induits par l’environnement réservent parfois de mauvaises surprises aux amants estivaux.
La plus grande pharmacie en ligne, www.newpharma.fr, a donc pris l’initiative de sonder la population afin d’en savoir plus sur les habitudes et l’état des connaissances par rapport à la pilule du lendemain. 5.171 femmes se sont prêtées au jeu.
33% des répondantes annoncent avoir déjà pris la pilule du lendemain et, parmi elles, plus d’un tiers l’a faitdeux à trois fois dans son existence. À l’autre extrême, près de 3% estiment faire appel à ce moyen de contraception plusieurs fois par an.
Avec un peu plus de 36%, c’est l’oubli de la pilule habituelle qui constitue la principale raison du recours à la pilule du lendemain, immédiatement suivi par un incident survenu avec un préservatif (33%) et un rapport sexuel non protégé (26%).
Si une petite majorité de sondées savent que la pilule doit se prendre, comme son nom l’indique, au plus tôt et idéalement dans les 24 heures (dépendant du principe actif), 30% des 5.170 femmes pensent que et/ou ignorent purement et simplement si la pilule du lendemain peut interrompre une grossesse déclarée. II y a là un amalgame qui semble s’établir avec la pilule abortive qui ne peut, elle, n’être délivrée que par un médecin autorisé à pratiquer l’IVG durant le 7 premières semaines de grossesse.
« Une fois de plus, le premier enseignement d’une enquête Newpharma est que l’information et l’éducation du patient est un must absolu. » conclut Mike Vandenhooft, cofondateur et CMO de Newpharma. « C’est la raison pour laquelle notre équipe de pharmaciens chevronnés se penche sur chaque commande avant qu’il y ait livraison et entre très régulièrement en interaction avec nos clients pour attirer leur attention sur ce qu’ils achètent, les mettre en garde le cas échéant, et même refuser une commande suspecte ou potentiellement dangereuse pour la santé ».
L’entièreté de l’enquête est disponible ici.
Contact Presse : Dominique Fresnay, dominique@diffusis.com