Depuis 20 ans sont apparues de nouvelles sources lumineuses auxquelles nous sommes exposés, notamment les LED et les écrans. Nos comportements et les durées d’exposition envers ces sources ont profondément évolué.
A l’heure où de nouvelles découvertes soulignent l’importance de la prise en compte des conditions d’utilisation de ces sources et de la protection vis-à-vis de certaines d’entre elles, il est important de connaître les besoins et les limites de l’œil en matière de lumière afin de définir une hygiène lumineuse adaptée à l’âge et à la tâche (travail, conduite nocturne, écoles…).
C’est pourquoi l’AFE et l’AsnaV organisent le 26 septembre prochain une journée d’information et de prévention à Marseille. L’occasion de souligner les impacts sanitaires et économiques d’une mauvaise lumière et d’une mauvaise vision.
Le saviez-vous ?
Pour les enfants en dessous de 6 ans, il faut prendre en charge toute anomalie oculaire ou tout trouble réfractif pour éviter que ne s’installe une baisse de vision définitive.
Chez les adultes, l’OMS estime à 6 millions d’euros par jour la perte de productivité liée à la mauvaise vision dans le monde.
Compte tenu du vieillissement de la population, le nombre de personnes déficientes visuelles, aux besoins différents vis-à-vis de l’éclairage (difficultés à voir la nuit…), pourrait atteindre 3,5 millions d’ici 2030 en France.
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Cliquez ici pour consulter le programme de la journée, organisée dans le cadre des 41e Journées nationales de la lumière de l’AFE qui se dérouleront du 24 au 25 septembre à Marseille.
Si vous souhaitez assister à cette journée : emas@afe-eclairage.fr