Il y a une semaine le Président de la République invitait les médecins libéraux à organiser une réponse territoriale collective aux demandes de soins non programmées.
En l’absence de continuité des soins organisée, de trop nombreux patients arrivent dans les services d’urgences. Moins de 15 % d’entre eux nécessitent en réalité le recours à un service d’accueil des urgences.
La saturation des centres 15 par les demandes de soins non programmées entraîne une dégradation de la régulation des appels, mise en lumière par l’IGAS suite à l’affaire Musenga.
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