Dans le contexte anxiogène actuel, le CNGOF rappelle que la grande majorité des patientes porteuses de prothèses vaginales pour cure de prolapsus ou d’incontinence urinaire sont soulagées de leur pathologie initiale et ne présentent pas de complications. Il est inutile, voire nocif, d’envisager dans ces conditions de réaliser l’ablation de ces dispositifs.
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