Sans surprise, l’avis de l’Autorité de la concurrence sur la distribution des médicaments en ville rendu public hier met de nouveau en cause les principes fondamentaux de notre modèle officinal.
Pour ses auteurs, la fin du monopole, l’ouverture du capital et la libéralisation sauvage de la vente en ligne des médicaments seraient la solution pour redonner du pouvoir d’achat aux Français. Mais à quel prix pour leur santé ? Car plutôt que d’améliorer le quotidien de nos concitoyens, les préconisations de l’Autorité de la concurrence vont avant tout conduire à la destruction du réseau officinal de proximité et mettre à mal la sécurité de la dispensation du médicament en France.
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