Alors que l’accès à des soins de qualité en tous points du territoire est devenu un sujet majeur de santé publique, pour l’Association Française d’Urologie, il semble que certains n’en aient pas encore pris la pleine mesure et soient en train de construire de nouveaux déserts médicaux. C’est notamment le cas en termes d’accès à un urologue habilité à prendre en charge les cancers de la prostate, de la vessie, du rein ou des testicules.
Formation Spécifique Transversale : la réforme qui peut créer des inégalités d’accès aux soins
La formation des futurs spécialistes en urologie s’effectue dans le cursus du DES d’urologie en 5 ans. Près de 50 % des internes se sont exprimés pour recevoir une formation complémentaire en cancérologie afin de répondre au besoin de soins à prodiguer sur le territoire national. Les cancers de la prostate, du rein et de la vessie comptent en effet parmi les plus fréquents en termes d’incidence. La réforme des études médicales prévoit que cette formation complémentaire en cancérologie commence à être dispensée au sein d’une FST (Formation Spécifique Transversale) dès la rentrée prochaine… et celle-ci s’annonce déjà sous tension.
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