« Nous ne pouvons plus avoir en permanence un train de retard et courir après la propagation de l’épidémie. Pour gagner une guerre, il faut une économie de guerre. La priorité aujourd’hui est d’augmenter immédiatement le nombre de lits de réanimation en mobilisant l’ensemble des ressources industrielles, logistiques et humaines du pays en mettant à l’arrêt toutes les activités non indispensables […] »
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