Les conclusions du rapport confirment qu’une intervention du législateur est nécessaire pour préciser le cadre juridique et éthique des dons de corps à la science et pour permettre la poursuite des activités de formation et de recherche.
Comme elle s’y était engagée, la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation Frédérique Vidal formulera des propositions en ce sens dans le cadre des travaux relatifs à la loi de Bioéthique pour garantir notamment la nécessaire exigence éthique qui doit accompagner au quotidien le fonctionnement des centres de don des corps.