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Point presse sur les manifestations des médecins de blocs opératoires (Paris)

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Déjà 70% des établissements privés chirurgicaux sont concernés par le mouvement d’arrêt d’activité sur tout le territoire

Manifestation des médecins des blocs opératoires devant le Ministère de la santé le 14 novembre à 14h00
Point Presse à 13h00 au restaurant Le bistrot de Gaspard-35 avenue Duquesne- Paris 7ème

Contact presse :

Emeline Barbé
06 87 76 17 23
– emeline@eb-conseil.net

Docteur Philippe CUQ
Président UCDF – co-Président LE BLOC
06 08 91 86 82

Xavier Gouyou-Beauchamps
Secrétaire général de l’UCDF
06 08 03 94 72

Jérôme Vert
Secrétaire général de l’AAL
06 73 69 90 82

Notes :

Le syndicat LE BLOC, qui représente près de 60% des praticiens des blocs opératoires, n’a pas signé l’amendement 8 de la convention médicale qui ne correspond pas aux spécificités de leur profession.
En entérinant le retard considérable du tarif opposable pour les actes chirurgicaux et anesthésiques, l’UNOCAM n’ayant pris aucun engagement pour solvabiliser tout ou partie des compléments d’honoraires, le présent texte ne résout pas la problématique de fond des compléments d’honoraires et du reste à charge pour les patients. Pire, le taux de 150% du tarif opposable par acte pour définir une pratique tarifaire excessive menace l’exercice libéral de nos spécialités, la Ministre ayant d’ores et déjà déclaré que ce taux baisserait au fil des années.

Mais la cause essentielle du développement des compléments d’honoraires, cette cause dont nous sommes les seuls à parler, le retard considérable du tarif opposable des actes de chirurgie et d’anesthésie n’est pas traité au fond : la revalorisation serait évaluée à 8% sur 3 ans pour la chirurgie et le texte prévoit même la baisse pour certains actes de l’anesthésie ! Les enjeux sont aujourd’hui très importants pour l’exercice libéral en général et pour les spécialités des blocs opératoires en particulier. Si le texte reste en l’état, les patients n’auront probablement plus, dans les années à venir, le choix de leur chirurgien, deleur gynécologue-obstétricien et de leur anesthésiste dans les établissements privés qui auront tous de fait disparu.


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