Cette pandémie – prévue par l’OMS, par toutes les instances internationales – a prouvé à quel point la domination des Big pharma, la marchandisation de la recherche, de la santé, de la perte d’autonomie, les coupes budgétaires permanentes, ont un coût astronomique, non seulement en souffrances et en nombre de morts évitables, mais également du point de vue économique et social.
Loin d’en tirer les leçons, le gouvernement s’obstine à poursuivre sa politique.
La France dispose d’un ratio de lits de soins critiques moitié de celui de l’Allemagne. Même la Cour des comptes appelle à accroître les capacités pérennes de réanimation.
Pourtant le gouvernement, qui par ailleurs distribue les milliards par dizaines au nom du « quoiqu’il en coûte », poursuit sa politique.
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