Le Pr Christopher Exley, dénommé Monsieur Aluminium par ses pairs, se voit retirer tous les moyens de poursuivre ses travaux par les autorités de son université de Keele (UK). Pourquoi vouloir ainsi bloquer une recherche académique indispensable à la santé publique ?
Contexte
L’aluminium est un composant très utile pour le fonctionnement de nos sociétés. Mais il peut être aussi un puissant (neuro)toxique, dès lors qu’il s’introduit dans le corps humain.
Plusieurs équipes le scrutent dans le monde entier, cherchant à déterminer son rôle dans la survenue de maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson) ou du neurodéveloppement (troubles du spectre autistique, troubles de l’attention et de l’hyperactivité), de cancers (notamment du sein), de maladies digestives (Crohn), d’encéphalomyélite myalgique / syndrome de fatigue chronique (myofasciite à macrophages), etc. Les charges s’accumulent vis-à-vis de l’aluminium, qu’il pénètre dans nos organismes via les aliments, l’eau de l’adduction ou les produits de santé (antitranspirants, pansements gastriques, vaccins, etc). Son absence dans les produits de la vie quotidienne (déodorants, capsules de café) est devenue un argument publicitaire.
Les faits
Tout ceci représente une réelle menace pour les industries grandes utilisatrices de ce métal “précieux”. C’est sans doute pour cette raison que le plus grand expert de la toxicité de l’aluminium, le Pr Christopher Exley, de l’Université de Keele (UK) est aujourd’hui attaqué.
Depuis 30 ans, il accumule les connaissances, réunit tous les deux ans ses collègues lors des “Keele meeting”, publie dans des revues à comité de lecture (plus de 200 articles à ce jour).
Le Pr Exley est mu par le seul souci de la vérité scientifique et du Bien Commun. Il a découvert des quantités anormalement élevées d’aluminium dans le cerveau de personnes atteintes d’Alzheimer, mais aussi de personnes autistes, et il l’a fait savoir, notamment lors d’un colloque qui s’est tenu au Sénat Français le 27 novembre 2017. Des fondations, des associations de parents d’enfants autistes, notamment nord-américaines, ont alors décidé de soutenir ses recherches. Quoi de plus normal, quand on est parent, que de vouloir comprendre ce qui a pu entraîner un handicap majeur chez son enfant ?
Le journal anglais The Guardian se prêta alors à une mascarade de journalisme, le qualifiant d’antivax, un terme très pratique et très à la mode, sans aucun élément de preuve ni aucune analyse de ses travaux, et le désignant ainsi à la vindicte populaire.
Les autorités de l’Université de Keele s’empressèrent de le déclarer coupable, sans même l’entendre. Ils décidèrent de lui couper les vivres ; c’en est fini de son groupe de recherche dans quelques mois. Du moins le pensaient-ils.
La réaction internationale
Mais les chercheurs de l’aluminium ne l’entendent pas de cette oreille. Un appel lancé par 6 d’entre eux dénonce une décision non seulement inique, mais aussi profondément dangereuse pour la santé de l’humanité. Les études sur la toxicité de l’aluminium doivent tout au contraire se développer, le Pr Exley et son groupe doivent poursuivre leur mission et être protégés par leur Université. La liberté de recherche académique doit être respectée, c’est un devoir de la plus haute importance.
De nombreux membres de leur communauté, représentant 29 pays et une grande diversité de domaines de recherche, les ont rejoints. Vous trouverez sur ce lien la liste de ces 100 signataires, ainsi que leurs commentaires, comme celui-ci :
« Le professeur Exley est le scientifique le plus influent et le plus prolifique travaillant sur la biochimie de l’aluminium sur la planète. Refuser ses tentatives de lever des fonds pour ses recherches est clairement motivé par un programme visant à supprimer toute recherche qui contrarie divers secteurs économiques ».
Autre remarque pleine de justesse de la part de l’un des signataires, cette citation de Blaise Pascal : « La vérité est si obscure en ces temps et le mensonge si établi, qu’à moins d’aimer la vérité, on ne saurait la reconnaître. »
Contact:
Didier Lambert
Co-président de l’association E3M
Porte-parole de la campagne Pour des vaccins sans aluminium
Cela fait des années que l’on sait que les déodorants à l’aluminium sont dangereux et les médecins nous assurent que d’en inoculer aux bébés est sans danger !!!
C’est un scandale aussi grand que celui de l’amiante et qui risque de connaître la même omerta