Le 1er juillet, la télésurveillance médicale devait entrer dans le droit commun, selon l’article 36 de la Loi de financement de la Sécurité sociale pour 2022. Mais les décrets qui doivent définir les procédures d’évaluation et d’inscription des activités de télésurveillance ainsi que le cadre de tarification et les modalités de prise en charge des activités de télésurveillance n’ont pas été publiés. Le Snitem (Syndicat national de l’industrie des technologies médicales) alerte sur les conséquences de ce retard, notamment pour les 150 000 patients télésuivis, et appelle à des prises de décisions rapides.