Avenir Spé-Le Boc, la CSMF, la FMF, MG France, le SML et l’UFML-S, estimant que « les négociations conventionnelles sont mises sous tutelle de plusieurs textes législatifs » et « plombées par la volonté du seul Gouvernement », « exigent que la négociation ne se fasse pas sous contrainte et que la convention garde sa pleine valeur ».