Filtres
Type d'information
Secteur
Zone géographique
Période
Tri

« Santé publique : quelles conséquences du Distilbène (D.E.S.)? », conférence de presse (Paris)

Imprimer la liste
Share

Lancement de la première étude française épidémiologique pour évaluer toutes les conséquences du Distilbène pour les trois générations concernées : les mères, les filles et les fils ainsi que les petits-enfants.

Anne Levadou, Présidente de l’association de patients Réseau D.E.S. France et Jean-Martin Cohen Solal, Directeur général de la Mutualité Française, ont le plaisir de vous inviter à la conférence de presse de lancement de la première étude française épidémiologique pour évaluer l’ensemble des conséquences du  Distilbène pour les trois générations concernées : les mères, les filles et les fils exposés in utero ainsi que les petits-enfants. Cette conférence de presse se tiendra le mardi 16 avril 2013 à 11h00, à la Mutualité Française, au 255, rue de Vaugirard, Paris 15ème – Parking sur demande –

Métro : Vaugirard, ligne 12 – Bus : 39, 70, 80, 88 et 89, arrêt Cambronne – Vaugirard

En présence de Marie Darrieussecq, écrivaine, psychanalyste et marraine du Réseau D.E.S. France

A cette occasion, le Pr Michel Tournaire, ancien chef de service de la maternité St-Vincent-de-Paul à Paris, aujourd’hui conseiller médical du Réseau D.E.S. France, et Emmanuel Devouche, épidémiologiste, présenteront les objectifs de cette première étude. Bernard Delorme, Chef du pôle Information de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) présentera les axes de collaboration de l’Agence avec les associations de patients.

Le scandale sanitaire lié aux effets indésirables du Distilbène, une hormone prescrite pour éviter les fausses couches jusqu’en 1977 en France, a débuté en 1971. Au cours des 40 dernières années, il a été montré que les filles du Distilbène (exposées in utero) souffrent de cancer du col de l’utérus ou du vagin, de graves difficultés de reproduction ou de ménopause précoce.

Aujourd’hui, de nouvelles interrogations médicales se posent, notamment un éventuel sur-risque de cancer du sein pour les filles du Distilbène. En effet, en 2006, une étude américaine a constaté un doublement des risques pour les « filles D.E.S. » de plus de 40 ans, quand en 2010, une étude néerlandaise ne retrouve pas ce risque augmenté, peut-être en raison des différences de doses de DES administrées à leurs mères. Qu’en est-il en France ? Quels sont les autres risques pour les trois générations concernées : cancers, malformations et conséquences sur la reproduction ?

Anoter : L’étude « Santé publique : quelles conséquences du Distilbène (DES) ?» est financée par l’ANSM.

Contacts presse :

ANSM : Dany Bonnet – 01 55 87 37 19 – dany.bonnet@ansm.sante.fr
Association Réseau DES France : Nathalie Lafaye – 06 77 42 33 79 – reseaudesfrance@wanadoo.fr
Mutualité Française : Marion Coulaud –  01 40 43 63 36 – marion.coulaud@mutualite.fr

Ajouter un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Share