Il y a près de trois semaines, l’Uniopss et 26 associations adhérentes et partenaires investies dans différents domaines des solidarités (autonomie, santé, lutte contre les exclusions, protection de l’enfance etc.) alertaient la Première ministre, ainsi que les ministères et directions compétents, sur la nécessité de compenser les surcoûts entraînés par la réforme de l’évaluation des ESSMS, qui sont aujourd’hui à la charge des structures.
L’impact sur les budgets et le temps RH consacrés aux nouvelles exigences implique de nouvelles difficultés pour les équipes, et a fortiori pour les personnes accueillies et accompagnées.
Les associations se tiennent à la disposition des pouvoirs publics pour co-construire des solutions. Pourtant, à ce jour, aucune réponse ne leur a été adressée, déplorent-elles.
Lire le courrier adressé à la Première ministre
Contact : vmercadal@uniopss.asso.fr