Filtres
Type d'information
Secteur
Zone géographique
Période
Tri

Accès aux soins : la médecine hospitalière et de ville en état d’urgence vitale (Etude)

Imprimer la liste
Share

Dans la continuité de ses récents constats sur l’étendue de la fracture sanitaire, l’UFC-Que Choisir, sur la base d’une étude exclusive, sonne aujourd’hui l’alerte sur les conséquences de la baisse massive de l’accès aux médecins et aux soins, immédiates et à moyen terme. Refusant la déliquescence de la permanence des soins, l’association enjoint le gouvernement d’appliquer d’urgence une thérapie de choc.

Lire le communiqué complet

1 commentaire sur “Accès aux soins : la médecine hospitalière et de ville en état d’urgence vitale (Etude)”

  1. Bonjour,

    Les patients soutiennent les médecins puisqu’ils sont sensibles au même combat. Plus de moyens, plus de médecins. Une médecine plus juste pour tous.

    Cependant, comment comprendre qu’ autant de médecins sont installés dans Paris 16ème , comment comprendre que je paie 125 € mon endocrinologue juste pour refaire mon ordonnance semestrielle et 25 € mon généraliste qui passe avec moi le double de temps, comment comprendre que des régions sont sans médecins et que l’on voit dans une émission télévisée 5 soignants s’affairer autour d’une jeune fille qui veut amincir son tour de taille alors qu’au même moment on fermait des urgences pédiatriques ?

    Trop d’incohérence chez les médecins eux-mêmes …

    Même combat, oui, mais les patients attendent des médecins qu’ils fassent le ménage dans leurs propres rangs. Assez de voir de quelle façon ils se soutiennent entre eux, qu’ils soutiennent avec autant de vigueur la médecine privée, pourvoyeuse d’inégalités géorgraphiques et sociales.

    En même temps qu’ils tirent la sonnette d’alarme, qu’ils prennent acte de ce qui ne va pas chez eux et de quelle façon en même temps qu’on allouerait des fonds supplémentaires à la médecine publique et aux hôpitaux, il serait bon qu’il y ait du donnant donnant, un rééquilibrage au sein même de leur secteur

    On souhaite une refonte du système plus juste. C’est un problème de moyens, mais pas seulement.

Ajouter un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Share