L’association nationale de patients ÉPILEPSIE-FRANCE réagit à la suite de la publication aujourd’hui, par l’ANSM, d’une évaluation européenne du risque potentiel de troubles neurodéveloppementaux chez les enfants dont le père a été traité par VALPROATE dans les mois précédant la conception.
Ayant pris connaissance de l’information publiée ce jour par l’ANSM , l’association nationale de patients Épilepsie-France, reconnue d’utilité publique, prend la mesure des résultats de cette évaluation européenne qui souligne un risque situé entre 5,6 % et 6,3 % chez les enfants nés de père exposé au valproate contre 2,5 % et 3,6 % pour les enfants nés de père traité par lamotrigine ou lévétiracétam.
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