Deux mois après l’escalade de la violence au Soudan, l’insécurité continue de rendre la prestation des soins de santé de plus en plus difficile. À Khartoum, moins d’un cinquième des établissements de santé sont pleinement fonctionnels. L’insécurité empêche les patients et les agents de santé d’accéder aux hôpitaux ; les établissements de santé, les actifs et le personnel sont attaqués.