La Journée mondiale de la santé sexuelle est célébrée chaque année le 4 septembre.
Comme le rappelle l’OMS, la capacité des hommes et des femmes à être en bonne santé sexuelle et à éprouver un sentiment de bien-être à cet égard dépend :
- de leur accès à des informations complètes et de bonne qualité sur le sexe et la sexualité ;
- des connaissances dont ils disposent concernant les risques auxquels ils peuvent être confrontés et de leur vulnérabilité face aux conséquences néfastes d’une activité sexuelle non protégée ;
- de leur capacité à accéder aux soins de santé sexuelle ;
- du milieu dans lequel ils vivent, à savoir un environnement qui affirme et promeut la santé sexuelle.
La santé sexuelle n’est pas simplement l’absence de maladie.
Elle fait partie intégrante de la santé humaine et il s’agit d’une question de bien-être général, à la fois physique, mental et émotionnel, qui permet à un individu de réaliser son plein potentiel.
Oloufèmi Émile OLOUMILADE
Socio-Anthropologue de la santé
Spécialiste de la Communication pour le Changement Social et Comportemental(CCSC)
Journée internationale de la santé sexuelle 2025.
La Journée mondiale de la santé sexuelle est célébrée le 4 septembre. La thématique de la journée en 2025 est la justice sexuelle. Cette journée vise à promouvoir le bien-être sexuel en tant que partie intégrante du bien-être physique et mental, et à sensibiliser aux droits sexuels, à l’égalité et au respect dans les relations.
Thématique 2025 : la justice sexuelle
Cette année, la Journée mondiale de la santé sexuelle se concentre sur quatre axes autour de thème principal.
Le premier axe est « Droits sexuels », la justice sexuelle est ainsi essentielle à la réalisation de la santé, des droits et du plaisir sexuel pour tous, sans discrimination, peur, honte, ni stigmatisation.
Le deuxième axe est « Droits sexuels et reproductifs ». Il est donc question ici d’changer sur la protection et la promotion du droit à l’autonomie corporelle et au libre choix de procréer.
Le troisième axe concernera le sujet de « Adolescents LGBTQ+ : jeunes transgenres, de diverses identités de genre, gays et lesbiennes ».
Enfin, le dernier et quatrième axe est l’accès à l’information. Le message central porté est que la justice sexuelle implique de garantir l’accès à des informations exactes, non censurées et fondées sur des données éprouvées concernant la sexualité et la santé.
Oloufèmi Émile OLOUMILADE
Socio-Anthropologue de la santé
Spécialiste de la Communication pour le Changement Social et Comportemental(CCSC)