La journée mondiale de lutte contre le sida donne chaque 1er décembre l’opportunité de faire le point sur les enjeux sanitaires du VIH mais aussi de rappeler les dispositifs de prévention.
En France, à cette occasion, le Crips Île-de-France dévoilera les résultats d’une étude commandée à Toluna – Harris Interactive sur les Français et la lutte contre le VIH. S’ils déclarent spontanément être bien informés, les faits confirment leur large méconnaissance, notamment en matière de prévention.
Acteur reconnu de la prévention et de la promotion de la santé sur le territoire francilien, le Crips Île-de-France (Centre régional d’information et de prévention du sida et pour la santé des jeunes), association déclarée d’intérêt général et organisme associé de la Région Île-de-France, intervient dans deux domaines : la santé des jeunes et la lutte contre le virus du sida.
Contact presse : Alice Dekker – alice@alicedekker-rp.fr
L’édition 2023 marquera les 40 ans de la découverte du virus du sida par une équipe française et l’identification de ses modes de transmission (sang, lait maternel, sperme et sécrétions vaginales). Depuis, de grands progrès ont été réalisés avec l’avènement de la prévention diversifiée et une réelle capacité individuelle et collective à mettre fin aux contaminations à l’horizon 2030. Cela nécessite une politique volontariste de l’ensemble des acteurs institutionnels et associatifs.
Cette journée est également l’occasion d’un appel à l’action pour émanciper et soutenir les communautés dans leurs rôles de leadership, rappelle ONUSIDA. Qui ajoute que pour libérer tout le potentiel du leadership communautaire pour mettre fin au sida :
- les rôles de leadership des communautés doivent être au cœur de tous les plans et programmes de lutte contre le VIH, ainsi que dans leur rédaction, leur budgétisation, leur mise en œuvre, leur suivi et leur analyse. « Rien pour nous sans nous. »
- les rôles de leadership des communautés doivent être financés de manière complète et fiable pour permettre l’élargissement requis, et être correctement soutenus et rémunérés. « Ne pas mettre fin au sida coûte plus cher que d’y mettre fin. »
- les obstacles aux rôles de leadership des communautés doivent être éliminés. Un environnement réglementaire favorable est nécessaire pour faciliter le rôle des communautés dans la prestation des services de lutte contre le VIH, pour garantir l’espace de la société civile et pour protéger les droits humains sans exception, y compris des communautés marginalisées, pour faire avancer la riposte au VIH dans le monde. « Abolir les lois discriminatoires, adopter des lois protectrices. »
En savoir plus sur www.unaids.org
Merci beaucoup pour cette programe,nous Avons dèja commencer à fournir nos efforts pour lutter contre le VIH en sensibilisant nos voinsins apropos du VIH dans Notre camp de réfugiés ici en ouganda.Et Notre association s’appelle ARLCV en sigle ( association des réfugiés pour lutter contre le VIH. MERCY