Imposer 0,3 % aux cliniques et hôpitaux privés c’est décider, en conscience, de la disparition de nombres d’entre eux alors que plus de 40 % sont déjà en déficit. C’est faire le choix de la privation d’exercice de milliers de médecins spécialistes qui, chaque jour, et sur tout le territoire, offrent les meilleurs soins aux Français.
Pour l’UFML-S cette décision d’une extrême gravité est inacceptable.