En France, la migraine touche 8% des enfants et adolescents, soit un million de jeunes Français, et a des répercussions importantes sur leur parcours scolaire : : absentéisme à répétition avec de lourdes conséquences sur les apprentissages et la sociabilisation, allant jusqu’à la déscolarisation et/ou au renoncement aux études supérieures.
Le corps enseignant, les encadrants et infirmiers scolaires sont démunis face à cette pathologie car ils en ont une mauvaise connaissance, et en sous-estiment l’impact.
Or, il existe un dispositif légal, le PAI, Projet d’Accueil Individualisé, proposé par l’Education Nationale, qui permet d’organiser au mieux la vie de l’enfant dans l’établissement, en précisant ses besoins thérapeutiques.
L’association La Voix des Migraineux lance une campagne pour améliorer la scolarité des enfants migraineux notamment par une meilleure connaissance de cette pathologie et une meilleure application du PAI dans les écoles et lycées.
Il y a exactement 28 ans que je suis soignée pour des migraines, je suis allée jusqu’à Paris pour me faire prescrire des lunettes, des semelles etc..
Pour découvrir enfin qu’elles sont directement liées à des hypoglycémies , surtout au petit matin. Aucun de mes médecins n’y a pensé.
Un repas de pois chiches m’assure une bonne nuit. Un repas de légumes le soir me réveille à 4h du matin et nauséeux ,on n’a pas envie de manger, alors que c’est tout le contraire, j’ai des dattes ou du pain complet sur ma table de nuit !
Il faut absolument creuser de ce côté là.