Ces mesures sont le résultat de plusieurs semaines d’échanges avec l’ensemble des acteurs du secteur (conférences hospitalières, associations d’étudiants en santé, fédérations employeurs, ordres, CNG, JDHU, etc.). C’est la première étape d’un travail qui se poursuit et qui aboutira à la présentation d’un plan national de prévention et de lutte contre les VSS d’ici la fin de l’été. Si la libération de la parole a concerné en premier lieu l’hôpital, c’est l’ensemble des étudiants et des professionnels de santé qui sont concernés, à l’hôpital comme en ville, d’autant qu’il existe des mobilités entre les deux univers.
Ces mesures sont articulées autour de 4 axes qui représentent des leviers d’action majeurs sur les VSS : améliorer les suites données aux signalements, former l’ensemble des professionnels, déployer un dispositif de prise en charge des victimes et promouvoir une plus grande transparence pour mettre fin à la culture du secret.