Elle attend une nouvelle politique qui donne enfin la priorité aux acteurs de soin. Moins d’administration, plus de soignants. Moins de technocratie, plus de soignants. Moins de financement de structures inutiles et redondantes, plus de soignants. Moins d’organisations cache-misère, plus de soignants.
Il est temps, plus que temps, de revenir fondamentaux : ce sont les mains qui soignent qui sont et font la santé de notre pays, tout doit être mis en œuvre pour les protéger, pour faciliter leur exercice et leur installation.
L’UFML-S appelle le nouveau Premier ministre à libérer les professionnels de santé du carcan administratif qui les étouffe, et à reconnaitre toutes les spécificités de l’exercice libéral, seul à même, une fois libéré des contraintes qui lui sont imposées, de porter le soin partout sur le territoire.
Contact presse : Christel Bonneau – christel@lp-conseils.com