L’UFML-SYNDICAT rappelle aux doyens de facultés de médecine que les jeunes médecins ne leur appartiennent pas, même s’ils ont effectué une part de leurs parcours dans les hôpitaux où ils exercent, et qu’ils ne doivent strictement rien à la Nation. En effet, l’investissement (relativement faible) de celle-ci pour financer une part de leurs cursus, est largement remboursé par leur engagement quotidien auprès des patients,au sein des services hospitaliers, tout au long de leur cursus.