Aujourd’hui, après plusieurs années de travail et de consultations et un important travail parlementaire, François Bayrou annonce vouloir scinder le projet de loi en deux textes distincts, séparant ainsi les mesures sur le développement des soins palliatifs et d’accompagnement de celles visant à ouvrir une aide à mourir sous certaines conditions.
L’accompagnement de la fin de vie doit continuer à être pensé de manière globale : les traiter à part, avec deux textes dissociés, c’est remettre en question l’existence de situations de souffrances réfractaires, y compris parfois après une prise en charge en soins palliatifs, auxquelles notre cadre législatif actuel n’apporte pas de réponse.