A la suite de la publication d’un rapport de l’IGAS menaçant l’avenir de l’ANDPC, et du dépôt de plusieurs amendements (finalement jugés irrecevables) demandant la suppression de l’obligation du DPC pour les professions à ordre, les salariés de l’ANDPC ont décidé un mouvement de grève.
En effet, ils avaient déposé un préavis pour demander à leurs tutelles, inexplicablement silencieuses depuis de longues semaines, de communiquer en transparence sur le devenir du DPC, de l’Agence et des plus de quatre-vingts salariés concernés, qui ne sont pas fonctionnaires.
Manifestant une nouvelle fois un mépris complet pour les personnels, celles-ci sont demeurés silencieuses, laissant les salariés dans la méconnaissance des réformes à venir et de leur avenir professionnel.
Ce premier jour de grève a été très suivi, avec soixante personnels sur quatre-vingt-six qui ont cessé le travail, soit un taux de 70 %.
Nous demandons à être reçus par les tutelles, UNCAM et DGOS, et que celles-ci, dans l’intérêt de la qualité de la formation des soignants, au bénéfice des usagers, s’expriment publiquement sur l’avenir du DPC, de l’ANDPC et des personnels.
Comite Social d’Administration – comite_social_administration@agencedpc.fr