Il n’y a pas de bons soins sans bon accompagnement, il n’y a pas de bon accompagnement sans bons soins.
La loi de Février 2005 a introduit une approche du handicap radicalement nouvelle dans notre société. Cette approche n’a pas encore développé toutes ses conséquences.
Parallèlement, nous avons constaté qu’un problème reste à régler : c’est celui de l’accès aux soins. Au-delà des obstacles géographiques, d’un rationnement par la file d’attente et des renoncements aux soins pour des raisons financières, on constate aujourd’hui, d’une manière générale, que les professionnels de santé n’ont pas été préparés à accueillir et à prendre en charge les personnes handicapées dans leurs spécificités.