Ce matin, l’Agence Nationale de sécurité sanitaire a dévoilé son rapport sur la nocivité des ondes. L’un des éléments recommandé en conclusion de ses recherches, porte sur la réduction des niveaux d’exposition. Plus précisément sont visés les appareils du type téléphone mobile, veille-bébé, téléphone sans fil DECT : » Face au développement rapide des technologies sans fil, l’ANSES formule des recommandations pour limiter les expositions aux radiofréquences, notamment des populations les plus vulnérables « .
Ce sujet est le coeur même du combat que mène depuis une dizaine d’années Babymoov, acteur français de la puériculture. En effet, sur les « veille-bébé », plus communément appelés babyphones, Babymoov conscient des enjeux de santé publique, est la première marque qui applique depuis plusieurs années le principe de précaution sur cette gamme. En effet, ce produit étant utilisé au quotidien par des millions de familles et sachant qu’il est prouvé que le cerveau d’un bébé absorbe 60% d’ondes en plus que celui d’un adulte, Babymoov n’a eu de cesse de développer des Babyphones préservant la santé des plus petits.
Pour prévenir au maximum les bébés de l’exposition des ondes, Babymoov privilégie la technologie analogique par rapport à la technologie DECT très utilisée par d’autres marques. La puissance d’émission des babyphones analogiques Babymoov a été mesurée à 1,25 mW. Celle-ci est donc largement inférieure à la norme des 10 mW imposée sur les appareils analogiques.
Pour aller encore plus loin, Babymoov a développé la technologie Digital Green. Cette innovation associe les performances du numérique (son clair et zéro interférence) à la sécurité de la basse puissance, largement inférieure à la norme des 20 mW imposée sur les appareils numériques pour atteindre 2,99 mW. Preuve qu’il n’est pas impossible de concevoir des produits performants tout en ayant une surveillance de son enfant à l’abri des ondes.
Babymoov est ainsi en accord avec l’ANSES qui recommande de réduire l’exposition aux ondes, en particulier pour les enfants. Il est préconisé que » tous les dispositifs courants émetteurs de champs électromagnétiques destinés à être utilisés près du corps (téléphones DECT, tablettes tactiles, veille-bébé, etc.) fassent l’objet de l’affichage du niveau d’exposition maximal engendré (DAS par exemple), comme cela est déjà le cas pour les téléphones portables. »
Babymoov avait déjà pris la parole publiant en juin dernier une étude sur le sujet des ondes électromagnétiques émises par les babyphones. Celle-ci a été réalisée en avril 2013 par le laboratoire de compatibilité électromagnétique (CEM) de l’Institut Pascal, rattaché au CNRS.
En conclusion de celle-ci il est avéré que les babyphones de la marque Babymoov émettent jusqu’à 33 fois moins d’ondes que d’autres acteurs du marché. L’étude révèle également que la fréquence utilisée par Babymoov est jusqu’à 2 fois inférieure à celle de la concurrence.
Babymoov a créé un logo spécifique qui garantit la basse puissance d’émission de ses produits.
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