« Le méningocoque B est responsable de près de 80% des cas d’infections à méningocoque chez le nourrisson en France. Ces maladies foudroyantes, qui frappent au hasard, peuvent tuer en 24 heures ou laisser des séquelles lourdes.
Il est maintenant possible de s’en prémunir : Bexsero®, le premier vaccin à large spectre contre le méningocoque B, est désormais disponible en pharmacie. Le Haut Conseil de la Santé Publique recommande déjà Bexsero® pour protéger des populations et zones en situation de risque spécifique.
Bexsero est le résultat de 20 ans de recherche, saluée par le Prix Galien 2013.
Bexsero fait aussi l’actualité internationale ces derniers jours car l’Université de Princeton aux Etats-Unis débute cette semaine un programme de vaccination d’urgence avec Bexsero, importé exceptionnellement en accord avec les autorités américaines, car le vaccin n’y est pas enregistré. L’université de Princeton est actuellement confrontée à une épidémie d’infections invasives à méningocoque B.
En Europe Bexsero est désormais également disponible et en Allemagne où il est pris en charge par certaines caisses, et au Royaume Uni où les autorités étudient son intégration au calendrier vaccinal. »
Il est maintenant possible de s’en prémunir : Bexsero®, le premier vaccin à large spectre contre le méningocoque B, est désormais disponible en pharmacie. Le Haut Conseil de la Santé Publique recommande déjà Bexsero® pour protéger des populations et zones en situation de risque spécifique.
Bexsero est le résultat de 20 ans de recherche, saluée par le Prix Galien 2013.
Bexsero fait aussi l’actualité internationale ces derniers jours car l’Université de Princeton aux Etats-Unis débute cette semaine un programme de vaccination d’urgence avec Bexsero, importé exceptionnellement en accord avec les autorités américaines, car le vaccin n’y est pas enregistré. L’université de Princeton est actuellement confrontée à une épidémie d’infections invasives à méningocoque B.
En Europe Bexsero est désormais également disponible et en Allemagne où il est pris en charge par certaines caisses, et au Royaume Uni où les autorités étudient son intégration au calendrier vaccinal. »
> Consulter le communiqué : bexsero