Le C2DS appelle les professionnels de santé à une mobilisation générale pour mesurer dans leurs établissements la qualité de l’air intérieur afin de réduire l’impact des composés organiques volatiles Les établissements hospitaliers et médico-sociaux, espaces de vie et de travail fermés, sont directement concernés par ces problèmes de pollution intérieure provenant de différentes sources (chauffage, ventilation, isolants, détergents, effluents médicamenteux, matières plastiques, textiles, etc.). Le coût, en termes de santé publique généré par la mauvaise qualité de l’air intérieur, est évalué à 19 milliards d’euros par an selon les études réalisées par l’ANSES, l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur et Pierre Kopp, professeur d’économie à la Sorbonne-Panthéon.
Le C2DS et son pôle d’expertise, l’agence Primum Non Nocere, ont réalisé une cinquantaine d’analyses auprès de leurs adhérents et découvert que le niveau de concentration de COV pouvait être vingt fois supérieur aux seuils admis…
Contact Presse :
Sébastien Gravier
+33 7 87 45 57 39
+49 30 45 08 64 312