Communiqué du Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français qui demande une fois de plus que l’accès à l’IVG en France soit amélioré, grâce, notamment, à davantage de moyens dédiés. Il pose également la question du délai de réflexion qui pourrait être écourté et celle de la clause de conscience évoquée par la délégation au Droit des Femmes de l’Assemblée Nationale.