Dès mardi 31 mars, qui marque le début de l’examen de la loi de santé en séance publique à l’Assemblée nationale, les syndicats de médecins, particulièrement hostiles à la généralisation programmée du tiers payant en 2017, veulent mettre la pression sur les parlementaires. La CSMF, suivie par MG France et la FMF, et soutenue par la FHP, appellent à une «journée santé morte», avec fermeture des cabinets et grève de la permanence des soins.