Autorisée depuis 2011 dans des cas précis, de cancer par exemple, la vitrification des ovocytes est une pratique encore interdite en France pour les femmes souhaitant uniquement préserver leur fertilité. Or, études, carrière, ou rencontres plus tardives…, elles aspirent de plus en plus à une stabilité économique et affective avant de se lancer dans l’aventure de la maternité.
Considérée par Carl Djerassi, créateur de la pilule contraceptive, comme « une avancée capitale en matière de procréation », la vitrification d’ovules pour des raisons dites « sociétales », a gagné du terrain ces dernières années dans les pays d’Europe qui l’autorisent. C’est le cas en Espagne où la clinique Eugin a vu croitre la demande, en particulier de jeunes femmes Françaises.
Cependant, « Un bébé quand je veux », ce slogan clamé par des générations de femmes qui revendiquaient la libéralisation de l’accès à la contraception ne semble pas faire écho lorsque l’on parle de vitrification « sociétale ». Alors pourquoi ne peut-on pas parler de phénomène de société en ce qui concerne cette technique ? L’enquête inédite, menée par la clinique Eugin avec l’institut Odoxa, apporte des éléments de réponse à cette question.
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