Étant donné les inquiétudes qui subsistent sur le caractère cancérigène et de perturbateur endocrinien du glyphosate, un herbicide utilisé couramment dans l’agriculture et le jardinage, la Commission devrait renouveler son autorisation sur le marché pour une période de sept ans uniquement, au lieu des quinze proposés, et seulement à des fins professionnelles. C’est ce qu’a affirmé le Parlement dans une résolution non contraignante votée en plénière le 13 avril.