Bisphénol A, phtalates, pesticides, retardateurs de flamme… les polluants organiques de l’environnement sont présents dans de nombreux aliments et biens de consommation courants. La surveillance des niveaux d’exposition des femmes enceintes et la connaissance des modes d’imprégnation de ces femmes à ces substances potentiellement dangereuses sont des enjeux de santé publique majeurs. C’est pourquoi le Ministère des Affaires sociales et de la Santé et le Ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer ont confié à Santé publique France la mise en œuvre du volet périnatal du programme national de biosurveillance. Le premier tome de cette étude, publié aujourd’hui, fournit pour la première fois des résultats fiables à l’échelon national : si la présence d’une ou plusieurs de ces substances est décelée chez la quasi-totalité des femmes enceintes de l’étude, les niveaux de concentration constatés sont globalement inférieurs à ceux observés dans les études antérieures françaises et étrangères.
Vous trouverez en pièce jointe le communique de presse ainsi que la synthese du premier tome de l’étude « Imprégnation des femmes enceintes pas les polluants de l’environnement en France ».
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