Edouard Philippe, Premier ministre, lors du discours de politique générale, a réitéré la promesse faite par Emmanuel Macron, d’un zéro reste à charge à l’horizon 2022 pour les actes bucco-dentaires.
La CNSD met en garde le gouvernement sur une approche démagogique, simpliste, qui pourrait mettre en difficulté les entreprises cabinets dentaires et par ricochet, l’accès aux soins des Français.