La majorité des papillomavirus (HPV) provoque de simples verrues vulgaires ou des condylomes (verrues génitales), mais quelques-uns sont oncogènes. Responsables de la quasi-totalité des cancers de la marge anale, du col de l’utérus et de la vulve, de près de la moitié des cancers de la gorge et d’un tiers des cancers du pénis, ces virus disposent d’un vaccin efficace. Une politique vaccinale adaptée permettrait de réduire considérablement les risques.
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