« La ministre Agnès Buzyn nous a habitués à de grandes déclarations compassionnelles tant sur la désertification médicale, que sur les EHPAD, ou encore sur l’hôpital public. C’est tout juste si elle n’était pas en grève aux côtés des personnels le 30 janvier dernier. Tout comme elle déclarait sa flamme aux soignants, malades de l’hôpital public en décembre dernier (dans le journal Libération) en accusant (à juste titre) la T2A comme « arrivée au bout d’un système » et responsable pour les personnels de « la perte de sens » de leur métier. »
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