Les populations ne présentent pas toutes la même sensibilité aux maladies infectieuses tropicales qui se propagent à travers la planète en raison de la mondialisation et du changement climatique. Ainsi, des chercheurs de l’Institut Pasteur, du CNRS et de l’Institut de recherche et d’innovation en santé de l’Université de Porto (i3S) ont identifié des variants géniques communs prédisposant davantage les personnes d’origine asiatique et européenne que les individus d’origine africaine au développement de la dengue sévère, pouvant mener jusqu’à un syndrome de choc qui peut être mortel. Ces résultats ont été publiés dans la revue PLOS Neglected Tropical Diseases, le 15 février 2018.
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