A l’heure où les contraintes budgétaires, réglementaires et organisationnelles s’amplifient dans les établissements de santé, la recherche d’efficience est le maître mot. Et si la médecine intégrative, qui combine les approches conventionnelles et non conventionnelles, était un des piliers de cette efficience ? Est-ce à juste titre qu’elle est présentée comme la médecine du futur par les médecins et chercheurs du monde entier qui étaient présents au dixième congrès de la Société Européenne de Médecine Intégrative à Berlin en mai 2017 ?
Journée thématique organisée le mardi 20 mars à l’Espace Hamelin, 75116 Paris (10h-16h).
Matin :
– Introduction : qu’est-ce que la médecine intégrative ?
– Charte de Berlin : objectifs individuels et sociétaux pour la pratique et la recherche en médecine (lecture et débat)
– Evaluer le service rendu par la médecine intégrative : intervention du Pr Jacques Kopferschmitt, PU-PH de thérapeutique au CHRU de Strasbourg, président du Collège Universitaire de Médecine Intégrative et Complémentaire (CUMIC)
– Médecine intégrative et efficience en oncologie : intervention du Pr Harald Matthes qui dirige la Clinique Havelhöhe de médecine intégrative de Berlin
Après-midi :
– Observatoire des médecines non conventionnelles : intervention du Dr Véronique Mondain, membre de l’OMNC, infectiologue au CHU de Nice et responsable du groupe Hypnose, membre de la maison de la médecine et de la culture
– L’actualité du C2DS
– Conseils pratiques aux établissements de santé pour évaluer le service rendu par la médecine intégrative : table ronde et débat entre les intervenants de la journée, Olivier Toma, ancien directeur de clinique, fondateur du C2DS et de l’Agence Primum Non Nocere, et Sandra Di Giovanni, responsable du pôle numérique & RSE chez AFNOR Certification
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