Les perturbateurs endocriniens sont présents dans notre quotidien, nous les trouvons dans nos cosmétiques, les revêtements anti adhésifs, ustensiles de cuisine, contenants alimentaires, produits de nettoyage, ameublement, dispositifs médicaux, pesticides, sols en PVC…
Chacun peut agir en tant que consommateur pour obtenir des produits plus sains. Chaque collectivité locale peut également agir à son niveau pour rendre visible cette pollution invisible et la faire reculer.
Le Réseau Environnement Santé souhaite amplifier la dynamique « sans perturbateurs endocriniens » en développant en France un Réseau « Villes et Territoires sans perturbateurs endocriniens » avec :
- Une charte d’engagements en 5 points à destination des collectivités territoriales désirant rejoindre cette dynamique
- Une plateforme d’échanges regroupant des contenus scientifiques, politiques et media ainsi qu’un lieu d’expression pour démultiplier les échanges et les discussions entre les membres du réseau
- Une opération « phtalates » pour rendre visible la pollution invisible des perturbateurs endocriniens par le prélèvement et analyses de cheveux des élus des villes s’engageant dans ce réseau
Onze collectivités, ont déjà rejoins RES : Paris, Strasbourg, Grande Synthe, Communauté de Communes de Cœur d’Ostrevent, St Jean, Limoges, Le Séquestre, Tulle, Commuanuté d’Agglomération du Douaisis, Fontenay-sous-bois et Dijon.
À noter : le Réseau Environnement Santé participe aux journées parisiennes de la santé environnementale intitulées « Détox&Vous », les 28 et 29 septembre.
Dans ce cadre, il organise le 28 septembre à Paris (au Ground Control – 81 rue du Charolais) de 9h00 à 13h00, avec Elus, Santé Publique et Territoires et la Mairie de Paris, les Rencontres « Villes & Territoires sans perturbateurs endocriniens ».