L’institut COVID-19 Ad Memoriam, créé sous l’égide du WHO Collaborative Center for Research on Health and Humanitarian Policies and Practices de l’IRD basé au CEPED (Université de Paris, IRD, Inserm) est organisé sous la forme d’un consortium réunissant les différentes parties prenantes, « ce qui permet au projet d’être évolutif et lui donne tout son sens », pointe le CNRS. L’Institut associe déjà un très grand nombre d’institutions et s’ouvrira au débat et à larencontre avec le public.
« L’institut COVID-19 Ad Memoriam propose d’associer des « mondes » multiples – chercheurs, soignants, artistes, juristes, associations de victimes, autorités spirituelles et culturelles et grands courants de pensée, représentants de la société civile, philosophes, entrepreneurs… – pour penser ensemble la pandémie de COVID- 19, qui constitue une rupture anthropologique majeure pour la société française et, plus largement notre monde globalisé ».
Les conséquences de cette crise sur la société seront nombreuses et durables, il s’agit de les mesurer, et de travailler à renforcer nos capacités d’anticipation et de résilience collective.
Il recevra ses premiers financements d’organismes publics de recherche (Université de Paris, CNRS, ENS-PSL, Inserm, IRD, etc.).