« À l’approche de l’hiver, nos pensées vont à celles et ceux qui, à Beyrouth, reconstruisent leur ville et leur vie. Beaucoup vivent encore sans abri, ou dans des maisons endommagées ; beaucoup souffrent encore de blessures physiques et psychiques. Et un grand nombre sont des infirmières qui se sont précipitées au cœur de la catastrophe pour prendre en charge les blessés et les mourants. C’est à nous maintenant de prendre soin d’elles. »