Lors de son audition devant le Comité des droits de l’ONU, la délégation française n’a fait que défendre le bilan du gouvernement.
Avec le Collectif Handicaps dont nous sommes membres, nous regrettons un manque d’analyse, de prise de recul et de perspectives de la part du gouvernement. Nous partageons la conclusion du rapporteur Jonas Ruskus : malgré la devise « liberté, égalité, fraternité, dans le pays dit des droits de l’homme, les personnes en situation de handicap sont laissées de côté ».
Il est urgent de mettre fin à une discrimination structurelle et rendre conforme la conception du handicap française à celle de la Convention relative aux Droits des Personnes Handicapées (CDPH).