Franck Devulder, président de la CSMF, interviendra lors du prochain café nile mercredi 18 janvier de 8h30 à 10h.
Les difficultés d’accès aux soins en France n’ont jamais été aussi grandes et frappent l’ensemble des professions de santé, l’hôpital comme la ville, dans de très nombreux territoires. La crise du système de santé, quant à elle, semble générale et la médecine libérale est particulièrement touchée.
Pour répondre à de telles difficultés, Emmanuel Macron a annoncé il y a quelques jours « un nouveau pacte avec la médecine libérale » et des mesures visant à libérer du temps médical. Ces annonces interviennent alors que l’Assemblée nationale vient de débuter l’examen de la proposition de loi de Stéphanie Rist sur l’amélioration de l’accès aux soins, par ailleurs décriée par les syndicats médicaux. Elles interviennent également alors que les négociations conventionnelles entre l’Assurance maladie et les syndicats médicaux battent leur plein.
Premier syndicat médical, la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) propose une troisième voie, basée sur une politique de droits et devoirs. S’agit-il d’un véritable contrat social entre les médecins et l’État, entre les médecins et les patients ? Quels en seraient les termes ?
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