Pour cette 23ème Journée du sommeil, organisée le 17 mars, l’INSV souhaite mettre la lumière sur la santé mentale et les croyances autour du sommeil.
La dégradation de la santé mentale des Français observée depuis le début de la crise sanitaire montre une importance corrélation entre les troubles du sommeil et les symptômes d’anxiété et dépression, confirmant le rôle du sommeil comme facteur déterminant de la santé mentale.
Par ailleurs, la mésinformation autour de l’hygiène de sommeil induit des comportements opposés à un sommeil de qualité et de quantité suffisante, un facteur qui impacte négativement la santé mentale.
Ces actions seront inscrites dans la perspective One Health et interrogeront les liens entre l’éco-anxiété et le sommeil.