La ministre des solidarités et des familles Aurore Bergé a annoncé, le 25 octobre, l’extension des revalorisations des salaires de nuit et des sujétions du week-end aux professionnels des établissements sociaux et médico-sociaux du secteur privé non lucratif, à l’instar du secteur sanitaire, pour le plus grand soulagement des 130 000 professionnels concernés.
« Nous nous réjouissons de cette annonce qui met fin à une période d’incertitude. Elle vient à point nommé alors que bon nombre de nos EHPAD sont en danger, subissant de plein fouet les effets délétères de l’inflation », déclare Marie-Sophie Desaulle, présidente de la FEHAP. « Il est crucial, comme l’a souligné la ministre, de maintenir une équité de traitement, que ce soit entre secteurs, sanitaire et médico-social, mais aussi entre les acteurs qu’ils soient publics ou privés associatifs. Reste désormais la question de la mise en œuvre pour laquelle nous serons particulièrement vigilants. »
Contact presse : Maryse DE WEVER – Maryse.DeWever@fehap.fr
Bonjour
Pour le moment, ce n’est pas d’actualité. L’EHPAD privé à but non lucratif n’a pas d’éléments concrets donc pas de financement.
Cordialement
Je suis aide soignante de nuit dans une ephad association à but non lucrative
Aucune mesure d’ annoncer au sujet de l augmentation de salaire pourquoi une telle disparité avec d autre établissements privés ou public clinique hôpitaux le personnel soignant depuis janvier a déjà obtenu leur hausse de salaire
Conclusion fermeture Ehpad fautes de personnels
Il est évident que celui ci va postuler ailleurs ou le salaire est plus avantageux
Oui en effet, c’est une honte ces écarts de salaire entre privé à but non lucratif et public, il y aurait 100 euros ça se comprend vis à vis des cotisations retraite etc, mais 300 à 400 euros c’est un scandale. Les grilles fehap sont has been. Il faut que l’Etat mette sérieusement la main à la poche pour rendre de l’attractivité et de la dignité aux établissements privés à but non lucratif qui sont à mon goût bien plus bienveillants et étiques que le public.