Pourquoi les femmes sont-elles prises charge trop tardivement lors d’un infarctus ? Comment expliquer l’impact des maladies cardiovasculaires sur la santé des femmes ? La Fédération Française de Cardiologie (FFC) invite la presse à faire le point sur cet enjeu de santé publique qui représente la première cause de décès chez les femmes de tout âge, jeudi 23 mai 2024 à 9h30.
Lieu : Salon Keeze Lafayette, 46 rue de Provence, Paris 9e.
En présence de :
- Pr Gérard Helft : cardiologue à l’Hôpital Pitié-Salpêtrière et président de la Fédération Française de Cardiologie.
- Dr Anne-Laure Laprérie : cardiologue au CHU de Nantes, Co-présidente de la commission Coeur de Femmes de la Fédération Française de Cardiologie.
- Mme Loan VO DUY : Co-présidente de la Commission Coeur de Femmes et Vice-présidente de la Fédération Française deCardiologie.
- Jacqueline Husson : témoin.
Pourquoi la FFC veut agir ?
- Les femmes ont tendance à minimiser leurs symptômes et à retarder leur prise en charge.
- Quand elles consultent, l’évocation des symptômes n’est pas systématiquement associée à un problème cardiovasculaire.
- Le suivi post infarctus est déterminant pour une meilleure récupération. Pourtant, la réadaptation cardiaque est peu/mal suivie par les femmes. Elles priorisent leurs obligations familiales et professionnelles au détriment de leur santé.
- Il est indispensable de combler le retard pris par le passé dans l’étude de l’impact du genre sur les maladies cardiovasculaires. Une thématique récurrente de la FFC dans son soutien à la recherche.
Inscription presse : anna.braud@bcw-global.com