Alors qu’un plan grand âge est à nouveau à l’ordre du jour et que les finances publiques sont de plus en plus contraintes, la Fédération Adédom soutenue par l’OCIRP publie les résultats d’une étude d’impact sur l’aide à domicile.
La baisse des financements de l’aide à domicile pourrait à minima doubler le coût de prise en charge des personnes dépendantes.
Les surcoûts reposeraient essentiellement sur les finances publiques (État, départements et organismes sociaux) et les familles.
À l’échelle locale (EPCI), la contraction du secteur se traduirait par des pertes d’emplois et une baisse des recettes publiques. L’étude présente le cas pratique de deux territoire subissant une baisse des financements de l’aide à domicile : la Métropole d’Orléans (45) et la Communauté de Communes de Caux Austreberthe (76)
Quant aux personnes vulnérables, elles connaitraient une forte régression de la qualité de leur prise en charge et subiraient, entre autres dommages, une entrée précoce en établissement et une mort prématurée. Leurs aidants seraient également victimes collatérales d’un recul de l’aide : perte d’emploi, perte de revenu, fatigue physique, charge mentale…
Pour en comprendre les enjeux, une séance de décryptage de l’étude dans le cadre d’un point-presse en ligne est organisé jeudi 27 novembre 2025 à 15h en présence de Laetitia Verdier, directrice générale d’Adedom.
Consulter le dossier presse avec les résultats de l’étude.
Contact presse : myra@frapiersaab.com